L’espace du temps qui suit le crépuscule du soir jusqu’au crépuscule du matin. Oh ! la nuit. Nous la célébrons ce soir avec le festival Ethno et Ciné. Photochimie & lumière nous parlant du sans-soleil. Que se passe-t-il la nuit dans l’obscurité, dans une salle de cinéma, juste à côté de toi ?
– The eyes empty and the pupils burning of rage and desire de Luis Macias (2018 / 16mm et 35mm / nb / 18’). Partant du noir photogrammique, Luis Macias performe une alchimie de feu sur argent. Une recherche à dérivation de brûlures pour révéler les nuances de la matière obscure.
Verrons-nous l’apparition d’une étoile ou d’un âtre iconique ?
– I can’t see the sixth sun de Alfredo Costa Monteiro et Luis Macias (2019 / 16mm et diapo 35mm / coul. & nb / électroacoustique / 18’). Un film-performance qui plonge dans les astres pour se douter de quelle place occupe l’homme dans l’univers.
Suivi d’une séance de films en 16mm :
– A touch of venus : general picture episode 11 de David Wharry (1980 / coul. / sonore / 8’)
– Corpusculaire de Yves Lafontaine (1990 / coul. / sonore / 10’ 28)
– The song of Riojim de Maurice Lemaître (1978 / nb / sonore / 6’)
– Parcelle de Rose Lowder (1979 / coul. / 3’)
– The fall of house of Usher de J.S. Watson Jr et Melville Webber (1928 / nb / sonore / 12’)