Documentaire écrit et réalisé par Mihaela Gladovic et Marc Meillassoux.
Le film est dédié à une question fondamentale de la surveillance de masse : son acceptation par la population. L’objection qui justifie cette acceptation est bien souvent “Je n’ai rien à cacher”.
La projection sera suivie d’un débat avec Benjamin Loveluck, maître de conférences à Télécom ParisTech et chercheur associé au CERSA (CNRS-Paris 2). Ses travaux portent sur la sociologie du numérique et les pratiques politiques en ligne.