Club lecture Partage-tapage ! ANNULE

ANNULE CETTE FOIS-CI

Les derniers dimanches du mois, de 16h à 17h30.

Un moment pour lire des textes qui nous plaisent, qui nous marquent, en parler, ou pas, sans hommes cisgenres. Les textes qu’on privilégie sont ceux d’auteur.ices minorisé.e.s (classe, genre, race, santé mentale, handi, corps hors norme). Que tu sois timide ou assuré.e, welcome! N’hésite pas à ramener un bouquin (ou +), même si tu ne l’as pas lu, et des grignotis (vegan)

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POUR UNE LUTTE ANTIRACISTE DÉCOLONIALE ET PANAFRICANISTE

Soirée conférence discussion en présence d’Amzat Boukari Yabara, historien et militant de la Ligue Panafricaine Umoja ; Saïd Bouamama, sociologue et militant du Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires ; et des militant.e.s des deux organisations.

QUE FAIRE DE L’ÉCOLE PUBLIQUE ?

Entre syndicalisme libertaire et pédagogies émancipatrices, les enseignant.e.s libertaires qui travaillent dans l’école publique sont assis.e.s sur un tas de contradictions.

Aller pointer tous les jours pour inculquer l’obéissance et la compétition, former des travailleuses dociles et des consommateurs enthousiastes, c’est pourtant ce qu’on leur demande dans cette école, “fille et servante du capital” comme disait Freinet.

C’est que la résistance, la désobéissance, l’alternative font elles aussi partie de l’école publique depuis sa création. À l’heure du pilotage managérial, du contrôle numérique, de la sélection et du retour de l’autorité en uniforme, faut-il défendre l’école publique ou la déserter ?

PRÉSENTATION ET DISCUSSION AUTOUR DU LIVRE DE JEAN STERN « MIRAGE GAY À TEL-AVIV »

“Fier d’être un gay, fier d’être un visiteur gay dans un pays fier
d’être Israël”. Aussi simplette semble-t-elle, la formule Lave Plus Rose
cartonne, surtout quand la baise est mémorable. Ensuite, de réseau en
réseau, dans leur sphère publique comme dans leur cercle d’amis, les
gays de retour de Tel Aviv ne tarissent pas d’éloge sur leur séjour, et
contribuent à remplir les charters de touristes homonationalistes
émoustillés d’avance. […] Cerise sur le gâteau, Israël fait de sa
politique ultrasécuritaire un joker. Pour jouir en toute quiétude, les
gays d’aujourd’hui saluent la “sécurité” du pays ; comme ceux qui
draguaient autrefois au Maroc ou en Tunisie cherchaient la “discrétion”.
C’est le grand succès du pinkwashing : le séjour ludique à Tel Aviv
prend le ton d’un pèlerinage politique.

Dans cette enquête inédite et à contre-courant, Jean Stern démonte une
stratégie marketing et politique orchestrée par l’État israélien – le
pinkwashing – qui consiste à camoufler la guerre, l’occupation, le
conservatisme religieux et l’homophobie derrière le paravent sea, sex
and fun d’une plaisante cité balnéaire, Tel Aviv. De Tsahal, armée
affichée « gay-friendly », au cinéma – porno ou branché – empreint
d’orientalisme, en passant par la frénésie nataliste chez les gays via
la gestation pour autrui, l’auteur raconte l’envers du décor d’un
rouleau compresseur. Ce « mirage rose » est décrié par les homosexuels
palestiniens et les militants radicaux LGBT israéliens, juifs comme
arabes.

KANAKY 2018 : LA REVANCHE D’ATAÏ (?)

2018 sera l’année du référendum d’autodéterminationqui pourrait marquer la fi n de 165 ans decolonisation française en Kanaky. Mais quel seral’effet de ce processus dont une bonne partie despremier/es concerné/es sont exclu/es ? Entreoppression coloniale et capitaliste, quelle réalitévivent les travailleur/euses kanaks aujourd’hui ?Quel est l’héritage culturel des résistanceskanakes et l’actualité des luttes ?

À partir de 14h, film et discussions en présencede camarades de l’USTKE, syndicat kanak
luttantpour l’indépendance et la socialisation desmoyens de production et d’échanges.
Repas àprix libre et soirée concert !
Tout ceci, organisépar la CNT38.

Banlieues sous le feu des médias

Un film de Christophe Del Debbio. Un décryptage de la couverture médiatique des“émeutes des banlieues” de novembre 2005. Ce film montre le rôle que latélévision a joué dans la “crise” des banlieues. Les médias ont déclaréla guerre aux habitants des quartiers populaires. Déclarons la guerreaux médias !
Soirée organisée par Indymédia-Grenoble.

De la biométrie

Une soirée projection et discussion sur le thème de la biométrie. La biométrie, c’est la capture et le stockage de données physiques pour la reconnaissance des individu/es. L’ADN, l’iris de l’œil, le contour de la main ou les empreintes digitales en sont des exemples. Ces techniques de reconnaissance sont de plus en plus utilisées (accès à la cantine, à la voiture, aux ordinateurs portables…) et présentées de manières anodines. Nous vous invitons à aborder avec nous les dangers que présentent de telles techniques ainsi que la façon dont elles s’inscrivent dans des politiques de contrôles et de surveillances plus larges.

Busqueda piquetera

Documentaire autoproduit, de J. Gaggini et David Planque (2005, 62 minutes)
Les manifestations, émeutes et pillages de décembre 2001ont révélé à la scène internationalela grave crise économique que traverse l’Argentine.Cependant dès le milieu des années 90, les licenciementsmassifs ont poussé les plus pauvres à s’organisercollectivement pour faire face à la misère. En dehors desstructures syndicales ou politiques, apparaissent des mouvements dechômeurs et les premiers “piquetes” (blocages deroutes). À travers cette nouvelle pratique se développeune forme d’organisation basée surl’horizontalité et une recherche constanted’autonomie face aux institutions.
Ces organisations collectives font aujourd’hui partie du tissusocial des quartiers. La parole est ici donnée au Mouvement destravailleurs au chômage de Solano (Buenos Aires).
La CNT-AIT de Grenoble vous invite à débattre sur lesperspectives qu’ouvre l’expérience des piqueterosargentins : quels moyens de lutte, quel mode d’organisation pourconstruire quelle société ?